DEUX VICTIMES DE LA TERREUR BLANCHE A BORDEAUX - LES GENERAUX CESAR ET CONSTANTIN FAUCHER LES JUMEAUX DE LA REOLE - ES tribunaux d'exception, qu'ils s'appellent révolutionnaires, cours prévôtales ou commissions mixtes, ne représentent la justice que par de BECAMPS PIERRE | Achat livres - Ref R300073655 - le-livre.fr

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R300073655

Caractéristiques détaillées

Auteur Becamps pierre
Editeur CHEZ L'AUTEUR
Impression
Etat Bon état
Disponibilité 23 en stock
Prix
  • 19,80 €
Référence R300073655
Classement Dewey 908,447
Fiche créée le 23/02/2017
Description
CHEZ L'AUTEUR. 1996. In-8. Broché. Bon état, Couv.... Plus d'informations.

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Deux victimes de la terreur blanche a bordeaux - les generaux cesar et constantin faucher les jumeaux de la reole - es tribunaux d'exception, qu'ils s'appellent révolutionnaires, cours prévôtales ou commissions mixtes, ne représentent la justice que par par Becamps pierre

CHEZ L'AUTEUR. 1996. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 258 pages.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine

Informations Supplémentaires

LES tribunaux d'exception, qu'ils s'appellent révolutionnaires, cours prévôtales ou commissions mixtes, ne représentent la justice que par le glaive qui frappe. Devant ces juridictions,la derense n est qu un vain mot, il n y a ni juges ni accuses, mais des vainqueurs chargés de statuer sur le sort d'ennemis vaincus. La loi disparaît pour faire place à la vengeance.Étant donné le danger imminent couru par la Convention après la mort de Louis XVI, on s'explique, tout en les déplorant, les excès du Tribunal révolutionnaire. On s'explique moins les excès des Cours prévô-tales qui firent tant de victimes sous la Restauration.Sans être populaire, le gouvernement de Louis XVIII n'était pas, à son début, sérieusement menacé ; sa conservation n'exigeait donc pas l'emploi de mesures violentes. Sous la terreur rouge, les suspects avaient trouvé des défenseurs ; sous la terreur blanche, des citoyens marchèrent au supplice sans qu'une voix eût osé se faire entendre en leur faveur et balbutier devant un Conseil de guerre les banalités d'un avocat d'office. Aussi rien n'effacera l'odieux des atrocités commises sous la Restauration, parce qu'elles n'eurent pour mobile ni le déchaînement des passions populaires, ni l'impérieuse nécessité du salut public.Il serait injuste de confondre dans la même réprobation tous les défenseurs du trône. La plupart d'entre eux n'approuvèrent pas des représailles qu'ils auraient voulu éviter et, plus d'une fois, Louis XVIII lui-même, ne suivit qu'à regret les ultraroyalistes groupés autour du comte d'Artois. Celui-ci, esprit frivole et dévot, fut le véritable inspirateur des haines monarchiques.(Soixante ans de la vie d'un peuple.) Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine

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